En 2026, de nouveaux objectifs de sobriété seront imposés aux acteurs du secteur, via le dispositif des certificats d’économie d’énergie. Si aujourd’hui il conduit à une hausse de 200 euros en moyenne sur la facture annuelle d’un ménage, son impact pourrait être multiplié par cinq, selon notre étude inédite consacrée à l’évaluation du potentiel des Certificats d’Économies d’Énergie (CEE). Retrouvez les principales conclusions de nos travaux dans un article paru le 23 septembre dans Le Parisien.